Créé en 1988 sur une des merveilleuses îles de la Loire, cette pépite vaut le détour pour découvrir son histoire. Après avoir passé le pont de bois, par La Varenne, le golf de Nantes île d'Or, vous offre 2 parcours, dans un cadre unique, un de 18 trous et un parcours compact de 9 trous. Le parcours de 18 trous longe la Loire et offre une grande variété de difficultés, tant par le vent, les arbres ou... l'eau ! Heureusement, les boules de départ sont bien placées afin de rassurer le golfeur. Mais l'endroit est magique et c'est bien ce qui compte... avant le score

Lové entre les bras de la Loire et de la rivière Erdre, le golf de Carquefou s’étend sur le domaine boisé du château de l'Epinay, 70 hectares, à dix minutes de Nantes. Long de 5790 mètres, ce 18 trous offre une partie variée et à la difficulté progressive. L’aller est très ouvert et permet une mise en route tranquille. Attention quand même aux plans d’eau des trous 3 et 5, principales difficultés de ce début de parcours. Sur un terrain plus vallonné, le retour est plus sélectif, notamment sur les trous 13 à 16, où de l’eau est systématiquement mise en jeu et que le vent peut rendre très gourmands.

Le Golf de Nantes Vigneux, situé au bord de la ville, est un parcours où il faut privilégier la précision à la puissance et savoir maîtriser le jeu dans les différentes pentes. Conçu et dessiné par Frank PENNINK, architecte anglais, le parcours de 18 trous, par 72, est situé au cœur d'un domaine boisé de 56 hectares et traversé par la rivière du Cens. Il concilie dans un équilibre parfait la tradition et la créativité. Vous jouez dans un décor somptueux et vallonné, constitué de greens soigneusement entretenus et de fairways bordés d'arbres centenaires, d'allées de cèdres et de pins, qui rendent à la nature toute sa splendeur.
Vous profiterez d’un cadre de vie plein d’agréments: une ambiance conviviale et sportive, un restaurant de qualité et une terrasse avec vue sur l’arrivée du trou n°18.

Si sa forme actuelle remonte à 1992, le golf de Pornic, situé au sud de Saint Nazaire non loin de La Baule, est en réalité l'un des plus anciens de la région, puisque les 9 trous d'origine furent créés en 1912. Comme la plupart des vieux golfs français, celui de Pornic fut créé à l'époque du développement des premières stations balnéaires pour répondre aux attentes d'une clientèle de vacanciers aisée et souvent britannique. Huit décennies après son inauguration, le parcours fut agrandi à 18 trous par Michel Gayon, une adaptation nécessaire pour répondre aux exigences des golfeurs modernes. À la première partie en forêt succède désormais une partie à découvert, ce qui rend ce par 72 de 6082 mètres varié et intéressant. Parsemé de nombreux bunkers qui obligent à la prudence, l'ensemble reste néanmoins abordable et plaisant pour les joueurs de tous niveaux.

Sous les remparts d’un splendide château du XIVe siècle, le Domaine de la Bretesche, situé derrière La Baule, au sein des pays de la Loire, est un véritable enchantement des sens aussi bien sur le parcours de golf que dans les luxueuses infrastructures.
Depuis 1967, ce parcours d’apparence facile sanctionne les joueurs dès lors qu’ils s’égarent sous les branches des vénérables feuillus. Et quand on sort de la forêt quasi-omniprésente, pas facile de rester dans son jeu : se dressent en effet tout proches les remparts et les tourelles de l’impressionnant château moyenâgeux, juché au bord d’un lac. Le tracé signé Henry Cotton est accessible et élégant car en été il devient une promenade fleurie...
Le domaine est un endroit magique, et pas seulement par l’entretien manucuré dont bénéficie le parcours. L’hôtel Relais & Châteaux du golf, le restaurant étoilé, le spa, les deux piscines et les salles de réception ajoutent à la féérie du lieu. Et ce n’est qu’en partant, hélas, que l’enchantement prend fin !

À deux pas du parc naturel de la Brière, les 45 trous du Golf Barrière de la Baule offrent une véritable expérience golfique dans un cadre naturel privilégié.
La Baule est à l'origine du Groupe Barrière et bien entendu, les noms des trois parcours ont pris celui des fondateurs. Deux parcours de 18 trous, un 9 trous, et un centre d’entraînement d’exception. Le Parcours Lucien Barrière fut le premier, un parcours pas trop difficile avec quelques points d'eau et des attaques de green délicates. Le second parcours, le Diane Barrière est relativement vallonné et est une savante alliance de 9 trous larges vous donnant de l'espace pour jouer et de 9 trous serpentant autour du grand lac de 5 ha. Le parcours François André est un excellent parcours d'entraînement de 9 trous dont les nombreuses difficultés vous incitent à calculer et travailler vos coups.
On a ici un véritable Resort de golf apportant à chaque joueur une réponse à ses besoins que ce soit pour jouer "challenge" ou jouer "plaisir". 
L'ensemble est dominé par un magnifique Club House au toit de chaume.

Situé au cœur d’un complexe de loisirs sportifs, entre Brière et Marais Salants, dans les Pays de la Loire, le golf de Guérande vous accueille toute l’année sur son parcours 18 trous et ses 2 centres d’entrainement. Un parcours accessible à tous mais qui ne manque pas de sel tant par son architecture anglaise que par son environnement boisé agrémenté de quelques pièces d’eau. N’oubliez pas de vous arrêter au bar-restaurant du club house (avec vue panoramique sur le parcours), toute l’équipe vous y accueillera dans une ambiance conviviale et chaleureuse !

Ce superbe parcours à caractère écossais, est idéalement situé en bordure de l’Océan, en Loire-Atlantique. Ses 9 trous sont techniques et le relief sournois des greens ajoute de la difficulté. Le golf possède un practice, des zones d’approches, un bunker et un putting green. Le club-house, situé plein sud, dans un parc de chênes verts qui s’harmonisent avec le bleu de l’Océan, où vous trouverez aussi un petit pro shop et un bar pour vous désaltérer, permet la convivialité et les échanges d’après parcours.

Près de Lille, le golf de Mérignies, quatre fois neuf trous de golf, fait partie de l’ensemble des quelques beaux parcours de golf de la Métropole Lilloise à ceci près qu’il diffère des autres parcours de golf par sa conception en « links ». Un links est ce type de parcours que l’on voit généralement en bord de mer. Tout simplement en raison de la configuration du terrain, le landscape, où on a, au départ de la construction d’un parcours, profité de l’environnement sans essayer de le modeler. On y jouait donc dans un espace naturel sans artifices. C’est ce qui passionne Michel Gayon, l’architecte du golf, qui a voulu sur le site de Mérignies, à proximité de Lille, réaliser un « links ». Bien sûr, sur un terrain absolument plat le pari était intéressant et audacieux, il est parfaitement réussi. L’idée était de sortir des habitudes du golf pour en faire un parcours à part. 
On y rentre calmement avec un trou n°1 facile, même l’eau derrière le green ne fait pas peur car un gigantesque bunker protège les balles un peu trop longues. Dès le n°2 on voit le dessin, on en comprend le principe. Tortueux, grandes buttes, pour jouer le coup il faut « aller voir » comment on va le négocier, quelle direction prendre pour préparer le coup suivant… C’est tout l’intérêt du jeu ! Michel Gayon nous emmène ainsi selon sa volonté dans des méandres tout en assurant un coup jouable quelque soit le niveau du golfeur. C’est caractérisé au n°6 avec un trou de volcan au beau milieu, rempli de sable, accueillant à souhait pour le long driver. Que faire ? Passer à gauche, à droite ? Derrière les obstacles sont là pour piéger le golfeur fougueux qui considère qu’au golf il suffit de frapper fort et loin pour bien jouer ! L’attaque des greens est plus impressionnante que dangereuse. Certes il y a des bunkers mais ils sont placés uniquement de façon à empêcher votre balle d’aller trop à droite ou à gauche… Le travail à faire sera de vous mettre simplement dessus et au milieu car le danger est sur les bords, on est sur un links, les bords sont en pente et vous feront sortir du green !... Non, il vous faudra être précis, patient, prudent pour le maîtriser. Il se laissera dompter, quoique…

Près de Lille, dans le Nord de la France, le Golf d'Arras se trouve dans cette " coulée verte " qui s’enfonce dans l’agglomération arrageoise. On est vraiment à portée de driver des somptueuses places de la capitale de l’Artois. Un driver qu’il faut utiliser à bon escient, c’est le moins qu’on puisse dire, tant l’eau des marais et rivières se complaît à compliquer la tâche du joueur sur une bonne moitié des trous, notamment les premiers. Pas le temps de se mettre en condition lentement : ELLE est là et ne souffre aucun égarement. Ce n’est que sur " la colline " - et encore, au retour - qu’on peut tenter de donner libre cours à sa puissance au détriment éventuel de la précision, en particulier les 12 (un par 4), 13 (un par 5 agréable à l’œil et au jeu), 15, 16 et 17. Mais on y revient toujours aux abords de ce marais qu’on ne quitte définitivement qu‘au… 19e trou. Le 18e, en effet, un par 5, le plus long du parcours, oblige à franchir l’Echeu, un ruisseau, puis la Scarpe, avant de tenter d’atteindre le green, blotti derrière le marais. Tout le monde n’est pas Montgomerie ou Woosnam qui, lors d’un skin-game encore présent dans toutes les mémoires, en 1995, arrivèrent en deux sur l’avant-green grâce à deux coups de driver, le second franchissant allègrement tous ces obstacles.